• Luc 10,41-42

    41 Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour beaucoup de choses, 42 mais une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, qui ne lui sera pas enlevée. »


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  • 11 Marie se tenait près du tombeau, dehors, et pleurait. Tandis qu'elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le tombeau ;12 elle vit deux anges en vêtements blancs assis à l'endroit où avait reposé le corps de Jésus, l'un à la place de la tête et l'autre à la place des pieds. 13 Les anges lui demandèrent : « Pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répondit : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l'a mis. »

    Reconnaît-on un ange quand on en voit un ? Je ne suis pas sûr que Marie s’est rendu compte que c’étaient des anges qui lui adressaient la parole.

     

     

     14 Cela dit, elle se retourna et vit Jésus qui se tenait là, mais sans se rendre compte que c'était lui. 15 Jésus lui demanda : « Pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Elle pensa que c'était le jardinier, c'est pourquoi elle lui dit : « Si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et j'irai le reprendre. »

    Marie n'a pas reconnu les anges. Cela me paraît normal. Elle n'avait sans doute, comme vous et moi, jamais vu d'anges, et dans ce cas il est difficile d'en reconnaître un quand on en voit un. Il me semble que si un ange se présentait à moi, soit je serais effrayé, soit je ne verrais pas qu'il s'agit d'un ange.

    Elle ne reconnaît pas Jésus non plus. Il est vrai qu'elle le croit mort et que l'on ne s'attend pas à voir surgir derrière soi quelqu'un que l'on croit mort.


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  • 19 Élie partit de là. Il trouva Élisée, fils de Chafath, en train de labourer un champ avec douze paires de boeufs ; Élisée conduisait lui-même la douzième paire. Élie, en passant près d'Élisée, jeta son manteau sur lui r . 20 Alors Élisée abandonna ses bêtes et courut dire à Élie : « Laisse-moi aller embrasser mon père et ma mère, après quoi je te suivrai. » — « Mais tu peux retourner à ton travail, répondit Élie. Est-ce que je t'ai demandé quelque chose ? s  » 21 Élisée retourna à son champ. Là il prit ses deux boeufs et il les sacrifia. Avec la charrue il fit du feu pour cuire la viande ; il la donna ensuite aux gens qui étaient présents, et ils la mangèrent. Puis il suivit Élie et devint son serviteur.


    Je me demande comment la famille d'Elisée a pris la chose !


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  • La "Bible du XIIIe siècle", vers 1280, présente une traduction à partir de la Vulgate de toute la Bible dans le français de l'Ile-de-France. Au XIVe siècle sont produites la "Bible anglo-normande", la "Bible de Jean de Sy", puis celle de Raoul de Presles. En 1530 paraît la "Bible d'Anvers" de Lefèvre d'Etaples.
    Au XVIe siècle, avec la Réforme, les traductions se multiplient. Les protestants traduisent la Bible en français à partir du texte hébreu massorétique, celui des experts juifs qui, du VIe au Xe s., avaient fixé le canon et la langue hébraïques. Paraissent successivement la "Bible d'Olivétan", à Neuchâtel en 1535, la "Bible de Genève" en 1546 et la "Bible de Castellion", à Bâle en 1555.
    Les catholiques publient, toujours à partir du texte massorétique, la "Bible de Louvain" en 1550 et la "Bible de Benoist" à Paris en 1566.
    Autour de Lemaistre de Sacy, des Jansénistes éditent encore une traduction de la Bible en 1665.
    Aux XIXe et XXe siècles, on assiste à une floraison de traductions, catholiques ou protestantes, qui tiennent compte des progrès de la recherche scientifique. Pour le XIXe siècle, rappelons du côté catholique la traduction du chanoine Crampon (Tournai, 1894-1899) et, du côté protestant, celle de Louis Segond (1880).

    Au XXe siècle paraissent la protestante "Bible du Centenaire" (1928-1947) et la catholique "Bible de Jérusalem" (1948-1955), qui a été le départ de nombreuses traductions étrangères. La "Traduction oeucuménique de la Bible" (1972-1975) reste à ce jour, dans le monde, la seule traduction qui ait été, de bout en bout, une entreprise oeucuménique.

    En septembre 2001, la "Bible nouvelle traduction" de Bayard crée un événement culturel sans précédent : 20 écrivains ont été associés au travail de 27 exégètes pour traduire à frais nouveaux la Bible et l'inscrire dans la littérature contemporaine. C'est la première fois que des protestants, des catholiques, des juifs, des agnostiques et des incroyants ont travaillé ensemble au service du même texte biblique.


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  • Daniel 3, 24 Soudain r , le roi Nabucodonosor se leva stupéfait et demanda à ses ministres : « N'avons-nous pas jeté trois hommes ligotés dans le feu ? » — « C'est exact, Majesté ! » répondirent-ils. 25 « Et pourtant, reprit le roi, je vois quatre hommes, non ligotés, qui se déplacent en plein milieu du feu. Ils ne portent aucune trace de blessures. Et le quatrième ressemble tout à fait à un être divin. » 26 Nabucodonosor s'approcha de l'ouverture de la fournaise et cria : « Chadrac, Méchak et Abed-Négo, serviteurs du Dieu très-haut, sortez de là et venez ! » Aussitôt, ils sortirent tous trois du milieu du feu. 27 Les satrapes, les préfets, les gouverneurs et les ministres du roi s'attroupèrent pour les examiner : leurs corps n'avaient pas subi l'atteinte du feu, leurs cheveux n'étaient pas roussis, leurs vêtements n'étaient pas endommagés, ils ne portaient même aucune odeur de brûlé.


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